la tour ba vf

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La Tour Bande-annonce VF

Commentaires

• Réalisation Guillaume Nicloux
• Scénario Guillaume Nicloux
• Durée 1 heure 29 minutes
• Genres Horreur, Fantastique, Drame
• Langue Français
• Liens externes Page IMDB Page TheMovieDB
• Dernière mise à jour 16 August 2024 - 09:22 sur 11 bases de données

Vous allez regretter votre dernier confinement.

Au cœur d’une cité, les habitants d'une tour se réveillent un matin et découvrent que leur immeuble est enveloppé d’un brouillard opaque, obstruant portes et fenêtres – une étrange matière noire qui dévore tout ce qui tente de la traverser. Pris au piège, les résidents tentent de s’organiser, mais pour assurer leur survie ils succombent peu à peu à leurs instincts les plus primitifs, jusqu’à sombrer dans l’horreur.

Acteurs (24)

Commentaires (14)

Film long, lent, avec des acteurs plus que moyens.

J’ai plutôt passé un bon moment devant malgré qu’il est d’énormes défauts Déjà,c’est long,ça étire les scènes en longueurs sans paroles pour rien,c’est cliché,là pseudo guerre Noirs/Arabe/Blanc est vraiment mal amené je trouve Mais malgré tout ça,bah c’est un pari osé et réussi pour le cinéma de genre français ( que je soutiendrais toujours coûte que coûte ) Certains acteurs jouent très mal,l’héroïne principale est très bonne,elle arrive à jouer différentes palettes d’émotions L’ambiance glauque et sordide est vraiment bien retranscrite,c’est étouffant a des moments Dans la même veine,j’ai préféré The Divide de Xavier Gens,qui prenait un peu le même principe

Déçu et avec une fin comme je les adores

C’est nul à chier, 0 intérêt

Film long car pesant, étouffant où rien ne se passe vraiment. Le but du film n'est pas clair. Aucune explication sur rien. Les ellipses temporelles sont trop nombreuses et, au final, ne racontent rien de spécia l. J'ai perdu mon temps.

Dommage le pitch etait bien… puis ca part sur rien, aucun enjeu, zero tension. Sur google il est classé en horreur/ fantastique… c juste du fantastique. Après 30/40 mn on regarde juste le temps passer… c koh lanta dans une tour sans les épreuves 😅

Bien glauque 😳

Rarement vu un film aussi nul.

Mon dieu que c'est glauque, crade et pesant. Le film est oppressant et étouffant. De ce côté là on peut dire qu'il est réussi. Mais c'est tout après, je pense que le concept est assez fort et qu'on aurait pu fa ire mieux. Mais le jeu des acteurs est souvent moyen parfois je sortais du film carrément (la jambe coupée)... dommage

Le cinéma de genre français est tellement rare que je ne peux que souligner l'effort d'en faire. La Tour est un film morbide, glauque et nauséabond, porté par un bon cast et une très bonne image. Le son n'est p as en reste. C'est vrai que ça pêche un peu niveau scénar, les ellipses sont clairement trop nombreuses et font un peu flemmard, et le côté guerre des clans, arabes vs blancs vs noirs c'est un peu (beaucoup) embarrassant et ça fait perdre pas mal de points de crédibilité. C'est dommage parce que sinon c'est super osé et poussé, j'ai même été franchement mal à l'aise devant certaines scènes et je réitère mais l'image est vraiment super. Bref franchement je pige pas trop pourquoi le film s'est fait démonter de la sorte, j'ai trouvé ça vraiment pas mal.

Cauchemars à tous les étages… On ne sait pas où exactement le film va… mais il y va.

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The Grandest Game in the World

La Tour du passé (Paul Halter)

• By Paul Halter
• First published: France: Eurydice, 2024

“When it comes to mysteries, there’s something for everyone. Two, even three suspect suicides, an old legend, a curse, a mirror that drives people mad, a sealed room, a distinguished scholar who descends into irrationality, later seen when he should still be in that room… To say the least, it’s off to a strong start!” – Chapter 5

La Tour du Passé is the new Paul Halter, published last month. It is neither a Dr. Twist nor an Owen Burns, but a mystery set in France in the early years of this century (2004, to be precise).

The renowned physicist Dr. Levasseur had behaved strangely for months: he consulted a tarot reader, and was seemingly obsessed with a mirror that opened a gateway into hell. Then he locked himself in his study, with strict orders for the room not to be disturbed for years, and vanished from the room. Some days later, a fisherman saw him drown at sea. Now his wife has been found dead at the foot of the tower stairs, apparently a suicide…

The narrative alternates between the first-person memoirs of a man who, after half a century, meets up with an old school sweetheart, his first girlfriend, and the police investigation into the Levasseur mystery. (Reading between the lines, we can confidently assume that the memoirs are those of Dr. Levasseur, supplying a possible motive for his disappearance.)

As often with Halter, the investigation is rather thin, and the modern setting and characters give this book the feel of a TV mystery movie. The murderer’s identity is a skilful enough use of a few of the oldest tricks in the book ( ROT13 : gur eryngvir yvivat noebnq, gur fhofgvghgvba bs gjva oebguref, gur qrnq zna jub vf ernyyl nyvir ), as I suspected.

The locked room (how someone managed to get out of a room) is rather mechanical, one of those Heath Robinson affairs employing a dozen bits of household junk and needing a diagram to explain; Halter has done much better on that front. (Where impossible crimes are concerned, I prefer them dressed up in supernatural garb, with the frightening possibility that a spectre has committed the crime and violated the laws of reality; and the solution to be simple and brilliant, as in John Dickson Carr or G. K. Chesterton .)

What lifts this book out of the ordinary is the delightful twist at the end, ROT13: na nhqnpvbhf ovg bs zrgngrkghny pyrirearff. Nyy nybat, jr nffhzr gung gur aneengvir vf Yrinffrhe’f, bayl gb qvfpbire gung vg vf gur qrgrpgvir’f , naq gung gur ravtzngvp Vfnoryyr vf uvf jvsr. Guvf cnfg rkcrevrapr nffvfgf uvz obgu gb vqragvsl naq gb rzcnguvfr jvgu gur zheqrere. Vg’f n inevngvba ba Unygre’f tnzovg, rzcyblrq fvapr uvf rneyvrfg obbxf va gur 1980f, bs pbyyncfvat gur aneengbe / fyrhgu naq gur pevzvany.

Il faut se méfier des portes. Surtout de celles qui sont fermées depuis longtemps. On ne sait jamais ce qu’il y a derrière. Et c’est un peu pareil pour le passé. Il faut éviter de le remuer, surtout lorsqu’il est ancien. Cela peut vous jouer de vilains tours. Enfin, il faut se défier de soi-même. Car notre for intérieur recèle de nombreuses portes secrètes, derrière lesquelles se pressent de redoutables souvenirs. Vous pouvez les enfermer dans des tours fortifiées, vous ne serez jamais vraiment à l’abri. Des fissures peuvent apparaître à tout moment. Rien ne résiste à l’usure du Temps, le grand maître du jeu, aussi implacable que machiavélique.

Pour résoudre un mystère, comme celui de la « Tour du passé », vous pourriez être tenté de déroger à ces règles. Mais sachez-le, ce sera à vos risques et périls. Et il en sera de même si vous choisissez de faire appel à un voyant extra-lucide. Il pourrait fort bien vous annoncer quelque imminente et inéluctable catastrophe…

Translation:

You have to be wary of doors. Especially those that have been closed for a long time. You never know what’s behind them. And it’s somewhat the same with the past. You should avoid stirring it up, especially when it’s ancient. It can play nasty tricks on you. Finally, you must be wary of yourself. Our inner selves harbour many secret doors, behind which lurk formidable memories. You can lock them away in fortified towers, but you will never be completely safe. Cracks can appear at any moment. Nothing withstands the wear of Time, the grand master of the game, as relentless as it is cunning.

To solve a mystery, like that of the Tower of the Past , you might be tempted to break these rules. But be aware, it will be at your own risk. And the same will be true if you choose to consult a clairvoyant. They might very well foretell an imminent and unavoidable catastrophe…

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• Paul Halter

Published by Nicholas Fuller

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7 thoughts on “ La Tour du passé (Paul Halter) ”

This is where one again misses John Pugmire! Unless another translator expresses interest – or I suddenly wake up fluent in French – I fear I shall never read this. Thanks for dangling it, Nick!!

Well, I’ll dangle a couple more Halters before the week is out.

Like Liked by 1 person

I’d love to see some more reviews of the untranslated work.

One up now; another tomorrow.

I can translate any Paul Halter novel. I’ve done it in the past, and I can do it again. The real problem is to get the rights and a publisher.

If I remember correctly, the closest Halter came to modern times in previous novels was the 1991 storyline from The Gold Watch . So would love to read one that takes place in 2004.

Speaking of towers, Tom Mead translated Pierre Véry’s The Secret of the Pointed Tower for C&L. Mead is a fan of Halter and might be open to continue Pugmire’s work. Here’s hoping!

Like Liked by 2 people

I don’t remember if Spiral (his young adult novel) mentioned exactly what year it was set in, but I have to assume it was sometime between 2011-2012.

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A Gentleman in Moscow : Critique de la mini-série Paramount+

Unification

A GENTLEMAN IN MOSCOW

La critique.

Basée sur le roman d’Amor Towles, et plutôt fidèlement, la série suit les "aventures" du Comte Alexander Rostov, qui, après la Révolution d’Octobre, échappe à la condamnation à mort, mais passe sa vie assigné à résidence dans un hôtel russe, après sa sentence prononcée dans un procès bolchévique.

L’hôtel, transformé en prison dorée, est un lieu opulent, relique de l’ancien temps, aujourd’hui révolu. Rostov (magnifiquement interprété par Ewan McGregor), qui a lié sa vie à la chute tragique des Romanov y croise bon nombre de codétenus, et les flashbacks s’enchaînent racontant leur vie avant les événements d’Octobre.

Kenneth Branagh avait été envisagé un temps pour incarner le rôle du Comte, et l’interprétation d’Ewan McGregor, lui rend hommage, d’une certaine manière.

Grand enfant, ne sachant rien faire (comme il le dit lui-même au procès), mais bourré d’humour et de dérision, le Comte se lie d’amitié avec bon nombre de personnages plus que secondaires. Remarquons le fantastique portrait qui est fait d’Anna Urbanova (Mary Elizabeth Winstead), car l’alchimie entre ces deux personnages est magique.

Rostov évoluera petit à petit au cours de la série, grandissant intérieurement, et développant ses liens paternels avec deux jeunes filles, Nina et Sofia. L’amitié improbable avec Osip (Johnny Harris), est aussi l’occasion de développer des réflexions philosophiques, où la résilience et les connexions humaines ont pris une importance cruciale.

Visuellement magnifique, sans temps mort inutile et au contraire tourbillonnant d’événements divers, A Gentleman in Moscow est une fresque qui dépeint avec brio le passage du temps et l’évolution de la société de la Russie et de son contexte politique.

Son intrigue, ses mystères et ses grands dangers, ne mettront jamais au second plan son côté émotionnel.

BANDE ANNONCE

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A Gentleman in Moscow

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A Russian aristocrat is spared from death and placed on house arrest while the Bolshevik Revolution plays out before him. A Russian aristocrat is spared from death and placed on house arrest while the Bolshevik Revolution plays out before him. A Russian aristocrat is spared from death and placed on house arrest while the Bolshevik Revolution plays out before him.

• Ewan McGregor
• Johnny Harris
• Leah Harvey
• 147 User reviews
• 21 Critic reviews

Top cast 77

• Alexander Rostov

• Osip Glebnikov

• Anna Urbanova

• Alexei Nachevko

• The Countess
• NIna Kulikova
• All cast & crew
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• Trivia It is based on the 2016 novel of the same name by Amor Towles .
• Goofs Before February 1922, a red star on a budenovka (pointy cloth military helmet) was decorated with 5-6 mm black edging.

User reviews 147

• mezzaitaliana-89131
• Apr 8, 2024
• How many seasons does A Gentleman in Moscow have? Powered by Alexa
• March 29, 2024 (United States)
• United Kingdom
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• Bolton Town Hall, Bolton, Greater Manchester, England, UK
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• Runtime 55 minutes
• Dolby Digital

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