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Le Hobbit : un voyage inattendu

Après “Le Seigneur des anneaux”, l’adaptation de “Bilbo le Hobbit” : même souffle épique, même univers magique, on reste sur des Terres (du Milieu) familières.

MGM- New Line Cinema - 3Foot7 - WingNut

Publié le 18 octobre 2017 à 06h00

Mis à jour le 01 janvier 2024 à 18h37

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A près Le Seigneur des anneaux, Peter Jackson rouvre les portes d’un univers foisonnant de hobbits, d’elfes et de magie. Bilbo le Hobbit est un roman antérieur au premier — à tous points de vue : il paraît en 1937, quelque vingt ans avant, et l’intrigue se déroule soixante ans plus tôt. Il est aussi plus mince ; en l’adaptant, Peter Jackson a délayé autant qu’il avait dû éla­­guer précédemment : Un voyage inat­tendu n’est que la première partie d’une trilogie.

Il faut presque une heure à Bilbo pour quitter son terrier. Après cette mise en place, on peut enfin goûter ses trépidantes aventures, aux côtés d’une compagnie de nains. Dès que la quête commence, les morceaux de bravoure abondent, d’une bataille entre deux géants de pierre à la rencontre entre Bilbo et Gollum. A l’issue d’un concours de devinettes, Bilbo lui dérobe son « Précieux », le bijou qui sera… au centre du Seigneur des anneaux . Dans cette séquence, le film prend tout son sens : c’est un récit des origines, sans lequel aucun mythe ne tient debout.

À lire aussi :

“Dans un trou vivait un hobbit…” : Tolkien, créateur inégalé du “Seigneur des Anneaux”, est mort il y a 50 ans

Film fantastique

Réalisateur

Peter Jackson

Howard Shore

Chorégraphe

Notary Terry

Etats-Unis - Nouvelle-Zélande

Fran Walsh, Philippa Boyens, Peter Jackson, Guillermo del

Tranquillement installé dans son logis, Bilbon le hobbit coule des jours paisibles, à fumer la pipe et à profiter du calme de la Comté. Un jour, sa routine est bouleversée par l'arrivée de Gandalf le magicien, accompagné d'un groupe de treize nains, menés par Thorin Ecu-de-Chêne. Ils sont à la recherche d'un habile voleur qui pourra les aider à accomplir leur mission : reprendre le trésor gardé par Smaug, un terrifiant dragon, caché au coeur d'une montagne dans l'ancien royaume des nains. Bilbon n'a jamais quitté sa province natale, mais l'appel de l'aventure, l'exotisme des guerriers nains et la persuasion de Gandalf le poussent à se joindre à cette quête. Assaillis par des trolls, poursuivis par des êtres malfaisants, menacés par des géants de pierre, les conquérants de l'impossible se rapprochent peu à peu de l'antre de la bête...

Martin Freeman

Bilbon Sacquet

Ian McKellen

Andy Serkis

Richard Armitage

Thorin Ecu-de-Chêne

Manu Bennett

Aidan Turner

James Nesbitt

Dean O'Gorman

Cate Blanchett

Christopher Lee

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Le Hobbit : Un Voyage inattendu

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Le Hobbit : Un voyage inattendu est le premier film de la nouvelle trilogie de Peter Jackson, Le Hobbit , qui a auparavant dirigé la trilogie : Le Seigneur des Anneaux . Ce film a une durée de 169 minutes et retrace les premières aventures de Bilbon Sacquet .

• 2 Anecdotes
• 3 Récompenses
• 4 Lecture du film

Synopsis [ ]

Alors que Bilbon Sacquet , un hobbit , vit tranquillement dans la paisible  Comté , le magicien Gandalf et treize nains viennent le voir chez lui, à Cul-de-Sac. Ils veulent reprendre le royaume d' Erebor , le trésor des Nains et l' Arkenstone . En 2770 au troisième âge, ce royaume légendaire a été conquis par le redoutable dragon Smaug , qui convoitait ses richesses. En reprenant Erebor, Thorin Écu-de-Chêne , prince et guerrier légendaire, hériterait du titre de "Roi sous la Montagne" qui était celui de Thrór , son grand-père. C'est pourquoi ils sont à la recherche d'un "cambrioleur" qui pourrait s'introduire dans la cité sans être repéré par le dragon et récupérer l'Arkenstone, le joyau du roi , qui légitimerait la place de Thorin en tant que souverain.

La compagnie de Thorin se met donc en route pour de palpitantes, mais dangereuses aventures. Ils commencent par croiser la route de trois trolls , mais grâce à la ruse de Bilbon et à la magie de Gandalf, la compagnie est sauvée pour cette fois. La compagnie de Thorin fait ensuite la connaissance de l'étrange Radagast , un magicien proche de la nature qui les avertit qu'un certain Nécromancien se serait établi à Dol Guldur et qu'une puissance maléfique plane sur Vertbois, rebaptisé Forêt Noire . Le magicien brun fait ensuite une diversion qui permet à la bande d'échapper à des orques et des Wargs au service d' Azog le profanateur, ennemi juré de Thorin.

La petite bande fait ensuite une halte à Fondcombe , chez les elfes. Cédant aux arguments de Gandalf, Thorin accepte de montrer la carte de leur périple à Elrond. Ce dernier a une grande connaissance des langues anciennes et décèle des runes lunaires sur la carte qu'il parvient à déchiffrer. Celles-ci dernières révèlent la présence d'une entrée secrète dans la Montagne Solitaire d'Erebor.

Gandalf débat un long moment avec le Conseil Blanc, composé du seigneur Elrond , le maître de la cité, Saroumane le blanc, le chef de l'ordre des Istari, et la Dame Galadriel de la Lothlórien . Saroumane rejette les hypothèses de Gandalf et nie l'existence du Nécromancien. Pour lui, il ne s'agit que d'un sorcier humain qui s'adonne à la magie noire, mais Gandalf pense qu'il s'agit d'un être beaucoup plus malfaisant et dangereux. Face à l'incrédulité de Saroumane, Galadriel demande à voir la Lame de Morgul , ramassée par Radagast, que Gandalf a rapportée. Cette relique du Mordor est suffisante pour que le Conseil Blanc consente à ouvrir une enquête.

Les nains et le hobbit se remettent en route sans Gandalf, qui est resté avec Galadriel à Fondcombe, mais la compagnie doit bientôt se réfugier dans une caverne, à cause d'un violent duel entre deux géants de pierre. Cette caverne se révèle être Gobelinville , une ville de cruels gobelins qui capturent les héros. Leur roi compte vendre Thorin à l'orc pâle Azog contre une récompense.

Pendant ce temps, Bilbon ne s'est pas fait prendre mais doit tenter de gagner un concours d'énigmes avec la créature Gollum , en échange de quoi l'ancien hobbit le ferait sortir de la caverne. Bilbon met la main sur le "précieux" anneau qui aura un rôle très important dans la trilogie suivante. Parallèlement, Gandalf est venu au secours des nains et les aide à s'enfuir, non sans avoir massacré un grand nombre de gobelins.

Bilbon retrouve donc la compagnie, mais ils se sont à peine remis de leurs émotions que les orcs dirigés par Azog le profanateur pourchassent Thorin et sa compagnie sur des wargs. Thorin tente de se battre contre Azog, mais perd le combat. C'est grâce à Bilbon que Thorin n'est pas tué, mais la compagnie est finalement sauvée par Gwaihir et ses aigles, qui les déposent à quelques milles du Mont Solitaire.

Le film se termine par un aperçu de l'intérieur de la Montagne, où l’œil de Smaug s'ouvre brusquement, terminant ce premier film de la trilogie "Le Hobbit"...

Anecdotes [ ]

Cette saga aurait dû être la première de Jackson mais par manque d'argent, sa femme et lui ont dû se plier aux vœux des producteurs qui étaient de réaliser d'abord le Seigneur des Anneaux. Aussi, selon Martin Freeman, Peter Jackson lui aurait demandé d'imiter un anglais pour ce rôle, mais il est britannique...  Le réalisateur a eu une immense peur quand les producteurs ont annoncé que le tournage se passerait en Écosse, mais il a réussi à les faire changer d'avis afin de tourner cette superbe trilogie en Nouvelle-Zélande (son pays natal) comme pour le Seigneur des Anneaux. 

Peter Jackson apparaît en caméo en tant que nain qui prend la fuite d'Erebor, à l'arrivée de Smaug. Jackson explique qu'il ne voulait pas interpréter un homme ni un hobbit et qu'il ne se sentait pas de jouer le rôle d'un elfe.

Récompenses [ ]

• Meilleurs décors
• Meilleur film fantastique ou de science-fiction
• Meilleur acteur : Martin Freeman
• Meilleur héros : Martin Freeman
• Meilleure réussite technique

Il y a eu aussi beaucoup de nominations ( Saturn Awards... ) : 

•  Meilleur film de Fantasy (2 ème place)
• Meilleur acteur, Martin Freeman (3 ème place)
• Meilleur acteur dans un second rôle, Ian McKellen (5 ème place)
• Meilleur réalisateur, Peter Jackson (2 ème place)
• Meilleure production design (5 ème place)
• Meilleure musique de film, Howard Shore (5 ème place)
• Meilleur maquillage (3 ème place)
• Meilleurs effets spéciaux (3 ème place)
• Meilleurs costumes (4 ème place)

Lecture du film [ ]

• Le Hobbit : Un voyage inattendu (version courte cinéma)
• Le Hobbit : Un voyage inattendu (Version Longue Director's Cut)

Casting [ ]

• 2 Galadriel

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Cours, Lola, cours Run Lola Run

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Network, main basse sur la TV Network

Le hobbit : un voyage inattendu.

Bilbon Sacquet mène une existence paisible dans sa maison, jusqu'à ce que le magicien Gandalf vienne le chercher pour qu'il prenne part à une aventure avec un groupe de nains. Ces derniers veulent reconquérir leur royaume, détruit par le terrible dragon cracheur de feu Smaug, qui habite toujours les lieux, planqué sous des milliers de pièces d'or. Ils devront affronter des orques, des gobelins, des trolls, traverser des ravins en sillonnant le flanc des montages, sympathiser avec les Elfes, leurs ennemis, et affronter des forces maléfiques pour enfin entrevoir la Montagne Solitaire, le sens de leur quête.

Cinoche.com

Distribution

• Martin Freeman
• Ian McKellen
• Cate Blanchett
• Andy Serkis
• Richard Armitage
• Mikael Persbrandt
• Aidan Turner
• Graham McTavish
• Robert Kazinsky

Réalisation

• Peter Jackson

Scénarisation

• Philippa Boyens
• Guillermo del Toro
• Metro-Goldwyn-Mayer (MGM)
• New Line Cinema
• WingNut Films

distributeur

• Warner Bros. Canada
• Site officiel (États-Unis)

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Le tournage en 48 images/seconde, le double de la vitesse habituelle, confère également une définition inégalée aux dites images, jamais floues malgré les brusques mouvements de caméra. Une fois de plus, Andy Serkis en pathétique Gollum vole la vedette aux autres interprètes, dont le jeu offre pourtant le mélange souhaité de gravité et de drôlerie.

Cinema Blend

But for its occasional moments of excess and unhurried pace, An Unexpected Journey is proof that Jackson still has a knack for stories in this world, and that he may have more surprises in store as the rest of this new, unexpected trilogy unfolds.

Being that it's The Hobbit and not LOTR, don't expect the same ultra-epic battle of good versus evil, as this is a far more lighthearted romp. Still - it's a ton of fun, and I'm certainly looking forward to the next two installments.

Freeman's Bilbo is a bit of a problem, at least at first. Like the character, Freeman sometimes seems to be trying too hard, and his overly emphatic puzzlement and exasperation frequently comes off like shtick in a BBC sitcom; he's very much a frazzled Brit throughout, even though everyone else is, you know, dwarves and wizards and such.

Panorama-Cinéma

Redondante, l'aventure de The Hobbit débutera d'autant plus sur une note beaucoup plus laborieuse étant donnée l'absence d'un réel sentiment d'urgence au moment où la communauté partira lentement affronter son destin. Spectacle distrayant malgré tout, An Unexpected Journey demeure un parcours en dents de scie proposé par un Peter Jackson s'étant visiblement assis sur ses lauriers.

In the end - or shall I say the beginning -  The Hobbit: An Unexpected Journey is a visual feast with whimsy and charm.

Rolling Stone

What saves the day is the spidery, schizoid Gollum, again performed by the great Andy Serkis through the craft of motion capture.

Pour les adeptes du Seigneur des anneaux , Le Hobbit : un voyage inattendu ne décevra pas puisque c'est un film d'aventure dans le sillage de la précédente trilogie. Pour ceux qui, au contraire, cherchaient quelque chose de différent, le ton plus léger de ce film sera certainement apprécié.

Worst Previews

Making it through all 169 minutes is a chore.

Bien sûr, les décors sont magnifiques, mais à part ça, nous ne retiendrons rien d'exceptionnel. Le film n'est en effet qu'une alternance de scènes dialoguées interminables et trop explicatives et de scènes d'actions brèves (mais généralement bien fichues, avouons-le) ponctuées de petites touches comiques pas drôles.

Bref, le voyage est familier, sympathique. Un apéritif plus que prometteur pour la suite des choses. Laquelle, comme le savent les initiés, va se corser et s'assombrir terriblement.

The Hollywood Reporter

More is less in Peter Jackson's gargantuan first installment of his second J.R.R. Tolkien trilogy.

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Le hobbit : un voyage inattendu

Bilbon Sacquet est bien décidé à reprendre possession du Royaume perdu des Nains d’Erebor, colonisé par le dragon Smaug. Par hasard, il rencontre Gandalf le Gris qui est accompagné d’un groupe composé de 13 nains. Le chef de ces derniers n’est autre que le grand guerrier Thorin Ecu-de Chêne. Ils recherchent un voleur renommé afin d’accomplir leur mission. Elle consiste à reprendre le trésor  caché au cœur d’une montagne au sein de l’ancien royaume des nains, gardé par Smaug le redoutable et terrifiant dragon. Ce périple les conduit dans le Pays Sauvage, ou ils rencontreront des Gobelins, des Ouargues meurtriers, des Orques, des Araignées géantes des Sorciers ou encore des Métamorphes…

Bilbon et ses amis doivent traverser les tunnels des Gobelins, dans lesquels il va faire la rencontre d’une créature qui va changer sa vie à jamais : Gollum. C’est sur les rives d’un lac souterrain qu’ave Gollum Bilbon Sacquet va découvrir le « précieux » anneau. Ce simple anneau d’or recèle des pouvoirs cachés, il est lié à la Terre du Milieu. Mais notre héros ne le sait pas encore…

Informations

• Durée : 2 h 49 min
• Nom original : The Hobbit : An Unexpected Journey
• Sortie : 12 décembre 2012
• Réalisateur : Peter Jackson
• Producteur : Carolynne Cunningham, Peter Jackson, Frances Walsh, Zane Weiner
• Acteurs : Ian McKellen, Martin Freeman, Richard Armitage, Ken Scott, Graham McTavish, William Kircher, James Nesbitt, Stephen Hunter…
• Production : New Line Cinema, Metro Goldwyn Mayer (MGM), WingNut Films, 3foot7
• DVD : 5051889264651
• Blu-ray : 5051889264668
• Blu-ray + DVD Version Longue : 5051889444220
• Blu-ray Warner Ultimate : 5051889483991
• Blu-ray Ultimate Edition + DVD – SteelBook Gollum : 5051889371953
• Blu-ray Ultimate Edition + DVD – SteelBook Gandalf : 5051889371960
• Blu-ray 3D + Blu-ray + DVD : 5051889391203

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• Le Hobbit : Un voyage inattendu #1 [2012]

Bilbo le Hobbit : Le Hobbit : Un voyage inattendu #1 [2012]

Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…

Critiques du staff de Le Hobbit : Un voyage inattendu

La critique de Le Hobbit : Un voyage inattendu #1 [2012] par Richard B. : La menace fantôme.

Avis publié le 7 décembre 2012

Photos & Affiches de Le Hobbit : Un voyage inattendu

Casting de Le Hobbit : Un voyage inattendu

Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

DVD / Blu-Ray de Le Hobbit : Un voyage inattendu

Le Hobbit : Un voyage inattendu Version longue

DVD 16/9 2:35 - Warner Home Video 13 novembre 2013

Prix conseillé : 19,99€

Le Hobbit : Un voyage inattendu Version longue 3D

Blu-Ray 16/9 2:35 - Warner Home Video 13 novembre 2013

Prix conseillé : 39,99€

Le Hobbit : Un voyage inattendu Version longue Blu-ray

Prix conseillé : 29,99€

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L'avis de la communauté SciFi-Universe.

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Informations complémentaires sur Le Hobbit : Un voyage inattendu

• Titre (France) : Le Hobbit : Un voyage inattendu
• Titre (Etats-Unis d'Amérique) : The Hobbit : An Unexpected Journey
• Dates des dernières diffusions connues à la télévision : - dimanche 22 octobre 2017 (France2) - dimanche 26 avril 2015 (France2) - mardi 7 avril 2015 (Ciné+ Premier)

Actualités de Le Hobbit : Un voyage inattendu

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« Le Hobbit : un voyage inattendu » : aux origines du "Seigneur des anneaux"

De Peter Jackson (Nouvelle-Zélande/Etats-Unis), avec :  Ian McKellen ,  Martin Freeman ,  Richard Armitage, Ian Holm,  Cate Blanchett, Christopher Lee, Andy Serkis - 2h45 - Sortie : 12 décembre Synopsis : Bilbon, Hobbit débonnaire, comme ses congénères, est entraîné par le magicien Gandalf le Gris à participer à la reconquête du royaume des nains, Erebor, tombé entre les griffes du terrible dragon Smaug. Commence alors un long périple, jonché de dangers et d’épreuves contre les Gobelins, Orques et autres Trolls, jusqu’au Mont solitaire, le repère de Smaug…  

Au commencement était Bilbo J. R. R. Tolkien avait écrit « Bilbo le Hobbit » en 1937 à destination de ses enfants, tel un conte. Le roman eût un tel succès international, auprès de la jeunesse comme des adultes, que son éditeur ne cessa de la tarauder pour en écrire la suite. Linguiste et spécialiste des cultures septentrionales, Tolkien après moult réserves, pris la direction d’un roman plus sombre, qui allait devenir une somme, comme une synthèse des mythes nordiques, destinée à une réception mondiale sans précédent, « Le Seigneur des anneaux », l’un des texte fondateurs de la Fantasy.  

Beaucoup de projets ont été ébauchés pour adapter le « Seigneur », sans lendemain, jusqu’à la trilogie de Peter Jackson, remarquable à plus d’un titre pour un roman jugé inadaptable. La réussite, tant artistique, critique et le succès public ne pouvaient que conduire Jackson sur les traces du premier roman de Tolkien, « Bilbo le Hobbitt » (qui garde son nom anglais dans la traduction française, pour devenir Bilbon dans le « Seigneur »). Premier film d’une trilogie, « Le Hobbit : un voyage inattendu », renoue, mais seulement en partie, avec les qualités du précédent cycle. Le film est dans la continuité de la trilogie du « Seigneur ». Dans son esthétique et sa narration. Comment faire autrement, quand il s’agit d’un même univers, dont l’adaptation est conduite par le même metteur en scène ? Grand bien soit-il ! L’on retrouve ainsi nombre d’acteurs, dans ce premier pan d’une nouvelle trilogie, dans les mêmes rôles, garants d’une fluidité indispensable. Même Ian Holm, qui interprétait Bilbon âgé dans les films précédents, fait le lien entre les deux pans.  

Adaptation   réussie, mais l'image... Quelle mouche a piqué Peter Jackson de garder la forme d’une longue trilogie pour adapter un roman de 300 pages ? Ce qui était justifié pour « Le Seigneur », 1000 pages divisées en trois tomes, semble ici, au prime abord, incongru. Avec ses coscénaristes, il s’en tire finalement plutôt bien. Le film garde un rythme soutenu et s'en tient à la première partie de l’ouvrage. Il ausculte les moindres recoins de l’histoire, entrecoupant les nombreuses et longues scènes d’action, de dialogues développés. Ainsi la rencontre entre Bilbon et Gollum, nœud de l’intrigue (puisqu’elle introduit le fameux anneau), est particulièrement creusée. Le récit n’en n’est pas malmené pour autant. Là où le bât blesse, c’est dans l’image, toujours très soignée, mais à laquelle le relief n’apporte rien, sinon des désagréments. On nous avait annoncé un procédé technique révolutionnaire apportant une qualité inégalée grâce à un filmage à 48 images/seconde, le HFR (High Fidelity Resolution), alors que la projection  presse n’a pas été conçue pour ce nouveau format très attendu (50 salles en France le permettront toutefois dès le 12 décembre, selon Warner). Résultat : un relief plat, parfois mal synchronisé, avec des images aux couleurs bizarres dans toute une partie du film. Des défauts dus peut-être davantage à la mauvaise qualité de la projection qu’au filmage, mais c'est bien dommage.  

Enfin, les très nombreux effets spéciaux ne semblent pas avoir beaucoup évolués depuis la première trilogie (2001-2003). S’ils sont de bonne facture, l’on sent tout de même l’image de synthèse, par un manque de texture et des mouvements trop fluides. Avec l’impression d’assister sur 80% de la projection, à un beau film d’animation, plus qu’à autre chose. Des défauts, que cela soit pour le relief ou l’image numérique, qu’avait évité James Cameron dans « Avatar », étalon-or en la matière. Donc : peut mieux faire. Espérons qu’il en ira de la sorte pour le deuxième opus, attendu en décembre 2013, et le troisième qui sortira en décembre 2014.

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Le Hobbit, un voyage inattendu : gobage d'oeuf, perruque... La saga de Peter Jackson en 7 anecdotes insolites

Publié le 20/10/2019 à 20:15

Vous êtes fan de la saga Le hobbit de Peter Jackson ? Voici 7 anecdotes qui devraient vous plaire !

A l'occasion de la diffusion, ce dimanche soir sur France 2 du Hobbit : un voyage inattendu , voici 7 anecdotes insolites sur la saga de Peter Jackson.

One shot ! Dans Le voyage inattendu , Stephen Hunter, alias le nain Bombur, a réussi à attraper l'œuf jeté dans sa bouche une seule et unique fois... lors de la première prise ! Il n'a plus réussi par la suite.

Si si la famille ! Katie, la fille de Peter Jackson incarne un hobbit dans les deux premiers volets de la saga, Le voyage inattendu et La désolation de Smaug . Elle est notamment la serveuse qui sert Thorin et Gandalf au Pony Fringant dans le deuxième film.

⋙ Le Hobbit (France 2) : d'autres oeuvres de Tolkien peuvent-elles être adaptées au cinéma ?

Mise en perspective. La différence de tailles entre les Hobbits, de petite taille, et les humains ont été réglés de manière différente entre la trilogie du Seigneur des anneaux et celle du Hobbit. Dans le premier cas, Frodon et ses comparses étaient placés à une distance de la caméra différente de celle des humains, créant ainsi l’illusion d’être de taille réduite. Dans le second cas, Ian McKellen, qui campe Gandalf, a tourné sur un plateau séparé de celui de Bilbo et ses amis, devant un écran vert.

Seul au monde. Du fait de devoir tourner à l’écart des autres héros du film, Ian McKellen (Gandalf) s’est vite senti isolé du reste de l’équipe. Pour lui remonter le moral, les acteurs et techniciens s’introduisaient dans la tente de l’acteur pour la décorer avec des souvenirs du Seigneur des anneaux, et déposer des fruits frais et des fleurs !

⋙ Le Hobbit, un voyage inattendu (France 4) : à quoi ressemblent les acteurs en vrai ? (PHOTOS)

Plus vrai que nature. La perruque que porte l'acteur Richard Armitage, alias Thorin Oakenshield, était la seule à être entièrement confectionnée à partir de cheveux humains.

Grillé ! A l'instar de la saga du Seigneur des Anneaux , le réalisateur Peter Jackson n'a pu résister et s'est offert un petit caméo dans chaque épisode du Hobbit. Vous l'avez reconnu à chaque fois vous ?

Et bon appétit bien sûr ! "Peter jackson m'a fait manger des testicules !" raconte l'acteur Stephen Fry, alias Maître de Laketown, qui a vu dans ce personnage "une opportunité pour être répugnant . Il indique : "J'avais un faux crâne chauve, et au-dessus une affreuse perruque, une moustache et une barbe bizarres, avec une peau rougeâtre et des ongles dégoûtants... En gros, une œuvre peu appétissante."

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Le Hobbit : 5 raisons de préférer la version longue du Voyage inattendu

Le Hobbit , oui, mais en version longue : environ 13 minutes de plus pour   Un voyage inattendu .

On revient sur la version longue du film de  Peter Jackson , adapté de  J.R.R Tolkien , pour dire pourquoi elle est largement préférable .

The lore of the Ring

Inutile de se voiler la face : ce premier épisode de la nouvelle trilogie de Jackson est l’opus le plus avare de la saga en scènes coupées, les six films compris. D’autant plus que quelques rajouts de cette version longue ne visent qu’à s’attarder plus longtemps sur des lubies déjà un peu lourdes dans la version cinéma. C’est par exemple l’occasion de creuser encore un peu plus les liens avec L e Seigneur des Anneaux , histoire de se poser en bon vieux prequel hollywoodien.

L’introduction de l’histoire par Ian Holm  est notamment allongée , avec une référence visuelle aux fameux feux d’artifice de Gandalf. La voix off explique que les dragons ne sont alors que des effets festifs (les connaisseurs de  La Communauté de l’anneau  savent de quoi il parle), et un tout jeune Bilbon fait son apparition, émerveillé par les explosifs.

Le conseil à Fondcombe est également plus long . Les trois patrons de la Terre du milieu débattent sur le 7e anneau des nains. Gandalf s’inquiète de la perte de cet atout, et Saroumane explique que rien ne peut se passer si l’anneau unique est perdu. Vous l’avez ?

Heureusement, on en apprend également un peu plus sur l’univers du Hobbit et sur les enjeux au coeur des trois films. Toute l’introduction, dédiée à résumer les péripéties du peuple sous la montagne, jouit d’ajouts bienvenus. Déjà, l’arkenstone est évoquée implicitement, puisqu’on voit Thranduil désirer une forme de paiement supérieure. De plus, on peut voir Giron louper Smaug une fois encore .

Toujours plus de comté

Ce n’est pas qu’on n’aime pas le fromage, mais la description de la Comté, déjà très présente dans Le Seigneur des Anneaux , prend également une grosse place dans Un Voyage inattendu , ce qui enrage ses détracteurs, lui reprochant une exposition trop appuyée. La version longue ne leur donne pas tort, puisqu’une grosse partie des scènes supplémentaires se déroule dans ce charmant pays. Outre la scène des feux d’artifice, quelques séquences sont légèrement modifiées .

Mais surtout, on peut voir le Hobbit de Martin Freeman  interagir avec ses semblables lors du marché de son patelin. L’occasion pour l’acteur de s’amuser un peu et pour le réalisateur de prolonger les scènes de vie dans la Comté qui proliféraient dans la version cinéma de La Communauté de l’Anneau , et pullulaient dans la version longue. Enfin, on peut y retrouver certains visages familiers puisque la scène permet quelques caméos de Hobbits déjà connus des habitués de la première trilogie .

Fondcombe de fond en comble

Fondcombe et ses décors spectaculaires ont toujours été des lieux appréciés par Jackson, qui peut y expérimenter sa mise en scène du merveilleux. Dans cette version longue, il en rajoute une couche, s’attirant les moqueries de la chaine Youtube Honest Trailer. Celle-ci explique que se procurer la version longue permet avant tout de se taper encore plus d’errements dans des décors vides. En effet, ces séquences accentuent, comme souvent dans ce premier film d’aventure pur, le plaisir de la découverte. Avant de se réfugier dans la demeure elfe, Bilbon dit à Gandalf sentir un air de magie qui approche , ce que le magicien confirme directement. Difficile de faire plus explicite.

Mais le gros des scènes rajoutées à Fondcombe se situe vers la fin du séjour de la troupe. Deux passages en particulier, atteignant à eux deux presque 4 minutes, rallongent l’expérience. Dans le premier, Bilbon se balade tranquillement dans ce nouvel environnement , toujours dans une logique très émerveillée… et très référencée. En effet, le fan-service pointe vite le bout de son nez, puisque notre héros découvre une fresque mettant en scène Sauron et la lame brisée de Narsil. Il tape ensuite la discut’ à Elrond, qui lui propose de rester sur place.

Dans le second, Bilbon surprend une discussion entre Elrond et Gandalf , débattant des répercussions de la quête de Thorin. L’aventure dans laquelle le jeune hobbit s’est engagé prend tout de suite une autre tournure pour lui. C’est bien à Fondcombe que lui et le spectateur prennent conscience des vrais enjeux de ce voyage, bien plus important qu’une simple quête d’or.

S’attarder plus précisément sur l’endroit magique permet également de caractériser encore un peu plus la compagnie des nains, en l’opposant au flegme pincé des elfes. En plus de ce plan étrange où les collègues de Thorin se baignent nus dans une fontaine, causant le désarroi de leur hôte, la scène du diner est largement augmentée et comporte encore plus de réflexions des invités sans gêne à propos d’une race qu’ils aiment moquer. De là à y voir une tentative d’auto-dérision de la part de Jackson, parodiant l’image de l’elfe précieux qu’il a lui-même instaurée, il n’y a qu’un (petit) pas.

Bilbon le hobbit : le musical

C’est le principal ajout, et celui qui divise le plus. En l’état, c’est également celui qui donne encore plus de personnalité au film. Si la fameuse scène de la chanson dans la cuisine a autant fait réagir, c’est aussi parce qu’elle était un peu seule. Le montage étendu montre l’orientation générale du long-métrage, pensé comme un conte au sens contemporain du terme. En d’autres termes, Jackson se sert de son Hobbit pour composer un véritable hommage aux films d’animation Disney et consorts , à mi-chemin entre le divertissement émerveillé et la comédie musicale.

La version longue ajoute donc deux chansons supplémentaires , remarquablement bien intégrées au récit. D’une part, le séjour à Fondcombe est une bonne occasion de pousser les vocalises, avec un chant enjoué élevant le bazar incommensurable que provoquent les nains chez les elfes au rang d’art décadent. Encore une fois, Jackson s’amuse comme un petit fou à profaner la mythologie à laquelle il a donné vie.

Mais la meilleure chanson – certains oseront dire la meilleure scène – du film, c’est la traditionnelle « chanson des méchants » entonnée par le roi des gobelins , alors que la compagnie est capturée par ses sbires. Au-delà de la composition du morceau en elle-même, redoutable et entêtante, elle donne un sens aux partis-pris esthétiques de la scène, et même du film dans son ensemble. Si les gobelins d’ Un Voyage inattendu ne ressemblent en rien à leurs cousins du Seigneur des Anneaux , c’est aussi parce qu’ils s’inscrivent dans une narration moins grave, prompte à en faire – littéralement – des méchants de dessin animé.

Pourrait-on voir dans cette composante musicale (unique dans la saga) un renvoi aux techniques employées ? En faisant ouvertement du pied à un genre qui n’a rien à voir avec l’épopée tragique de la première trilogie, le cinéaste rappelle que son histoire est adaptée d’un conte pour enfants et que son artificialité en découle logiquement . Conceptuellement, c’est osé. Pour ce qui est de l’exécution, les débats sont toujours ouverts.

Goblinville 2.0

Les quelques scènes coupées d’ Un Voyage inattendu se tiennent dans les deux premiers tiers, et ne concernent pas le climax. Tout ce qui se déroule après ne diffère pas, et Goblinville est bien le dernier lieu à être approfondi. Il bénéficie ainsi de quelques transformations mineures. Mais ce repaire putrescent et littéralement au bord de la chute est clairement l’un des décors les plus inspirés des trois longs-métrages. Y passer un peu plus de temps n’est pas de refus. Toute la partie où les nains sont déplacés du piège où ils ont atterri au trône est agrémentée de quelques plans supplémentaires.

Le passage où ils se font dépouiller est aussi plus long, puisqu’ un des nains se voit délesté de plusieurs objets volés à Fondcombe . Les guerriers sont aussi bien plus bavards quand il s’agit d’énerver le suzerain de ces tunnels, dans une séquence alternative plus cohérente avec sa soudaine colère. Au-delà de ça, plus rien ne différencie les deux versions, et tant mieux, parce que l’échappée délirante et la confrontation avec Gollum qui s’ensuivent restent de grands moments de cinéma populaire.

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Quelle déception cette trilogie. Le souci avec cette trilogie est la  »longueur » du livre originel qui fait environ 300 »longues » pages. De plus les thématiques du Hobbit sont beaucoup moins matures que LSDA. Le livre fut écrit 2 ou 3 avant la trilogie littéraire culte. Et ça se ressent sur pellicule. Où est l’intérêt de proposer une version longue du 1 er opus?? Est ce que les scènes coupées vont apporter quelque chose à l’intrigue ???

Je pense qu’il fallait laisser faire Guillermo del Toro qui aurait apporter un regard neuf sur l’univers de Tolkien.

Autant la trilogie du SDA est culte pour moi, autant j’ai complètement oublié celle du Hobbit.

Fondcombe pas fontcombe

Mouais pas emballé non plus par cette trilogie, c’est pas mal mais on est loin de celle du Seigneur des Anneaux…

Ou comment l’appât du gain dénature un texte et donne trois films plutôt insipide. Bilbo n’a pas la portée du Seigneur des Anneaux, ce n’est pas les mêmes personnes qui sont visés dans ces deux textes. Il manque tellement de chose, et des rajouts tellement superflus… Cette trilogie est à oubliée.

Les meilleurs films sur les voyages dans le temps

Posted: 28 juin 2024 | Last updated: 28 juin 2024

Karmalink (2021)

Ce premier film du réalisateur américain Jake Wachtel est devenu le premier film de science-fiction réalisé au Cambodge. Karmalink , qui met en vedette le jeune Leng Heng Prak, décédé tragiquement peu après le tournage, explore le voyage dans le temps d’un point de vue bouddhiste dans la ville de Phnom Penh, dans un futur proche. Plusieurs histoires se croisent dans lesquelles les personnages rêvent de vies antérieures et recherchent l’illumination numérique. Décrit comme «le carrefour entre la science et la métaphysique», Karmalink ne ressemble en rien aux films que les amateurs du genre ont pu voir jusqu’à présent.

Beyond the Infinite Two Minutes (2020)

Dans ce film japonais à très petit budget avec Kazunari Tosa, un homme nommé Kato découvre que la télévision de son café est une fenêtre sur le futur rapproché: elle montre des images de ce qui se passera dans exactement deux minutes. À partir de ce postulat saugrenu, la réalisatrice Junta Yamaguchi crée une comédie romantique brillante et décalée qui, selon certains cinéphiles, est «aussi mignonne et intelligente que compliquée» . Fait amusant: le film est présenté en un seul plan continu, ce qui donne l’impression de visionner une seule longue prise.

Your Name. (2016)

Cette douce fantaisie romantique animée suit deux adolescents, un garçon à Tokyo et une fille vivant dans une ville alpine isolée, qui découvrent que leur corps s’échangent indépendamment de leur volonté. Au fur et à mesure que l’intrigue se déroule, le couple développe un lien profond à travers l’espace et le temps. Réalisé par Makoto Shinkai, également auteur et scénariste, Your Name est devenu le film d’animation japonais le plus rentable à ce jour, devançant même Spirited Away de Hayao Miyazaki.

Interstellar (2014)

Lors de sa sortie en salle, Interstellar de Christopher Nolan a fait immédiatement sensation, et ce n’est pas étonnant! L’histoire est celle d’une équipe d’astronautes de la NASA qui se lance dans une mission secrète pour trouver une planète habitable et qui, en cours de route, commence à ressentir le temps différemment. Loué pour son exactitude scientifique et ses effets visuels révolutionnaires, le film allie «l’éclat de la haute technologie» et la «facture des vieux classiques» . Les critiques ont également salué les performances émouvantes de Matthew McConaughey et d’Anne Hathaway.

The Infinite Man (2014)

Dans cette comédie de science-fiction australienne de Hugh Sullivan, un homme nommé Dean tente de créer la fin de semaine romantique parfaite, mais se retrouve piégé avec sa petite amie, Lana, dans une boucle infinie. Dans la catégorie des films de science-fiction à petite échelle et à petit budget, The Infinite Man est certainement l’un des plus impressionnants. Tourné en un seul lieu avec seulement trois acteurs et sans effets spéciaux, le film réussit à être drôle, rythmé et très divertissant, en grande partie grâce à un scénario astucieux et à un excellent jeu d’acteurs.

Edge of Tomorrow (2014)

Edge of Tomorrow , de Doug Liman, qui peut se targuer d’avoir une évaluation du public de 90% sur Rotten Tomatoes , est une aventure de science-fiction captivante dont la prémisse ressemble à celle de Groundhog Day . À la suite d’une invasion extraterrestre dévastatrice, le major William Cage, interprété par Tom Cruise, est tué sur le champ de bataille... avant de se réveiller et de recommencer la journée. Les critiques ont salué le film pour son scénario intelligent et son action à couper le souffle, et ont applaudi la performance de Cruise dans un «rôle complexe et exigeant» .

About Time (2013)

Qualifié de comédie romantique la plus sous-estimée de la dernière décennie , About Time est une histoire d’amour charmante campée en Angleterre, tout droit sortie de l’esprit de Richard Curtis, le créateur de Notting Hill et de Love Actually . Le film, dans lequel jouent Domhnall Gleeson et Rachel McAdams, suit les aventures de Tim, un jeune homme de 21 ans qui découvre qu’il peut voyager dans le temps et changer le cours de sa vie. Drôle et poignant, le film célèbre de manière touchante les petites joies quotidiennes et a immédiatement trouvé un écho auprès du public et de la critique.

Looper (2012)

Dans Looper , le scénariste et réalisateur Rian Johnson présente une année 2044 dystopique où des tueurs à gages, appelés «loopers» , attendent que des cibles soient envoyées de 2074 vers le passé pour être assassinées. Joe est un mercenaire loyal... jusqu’à ce que sa version future soit renvoyée par ses patrons pour «boucler la boucle». Grâce à son scénario intelligent et aux performances impressionnantes de Joseph Gordon-Levitt et de Bruce Willis, le film a connu un vif succès critique et commercial, et a été applaudi pour avoir su éviter «les paradoxes des voyages dans le temps en choisissant plutôt de les utiliser à son avantage» .

Midnight in Paris (2011)

Écrit et réalisé par Woody Allen, Midnight in Paris est une comédie romantique douce, drôle et nostalgique agrémentée d’un voyage dans le temps. Alors qu’il est en vacances à Paris avec sa fiancée, Gil, un scénariste insatisfait, se retrouve chaque nuit dans les années 1920. Le film, mené par Owen Wilson et Rachel McAdams, deux icônes d’Hollywood, a obtenu une note de 93% de la part des critiques sur Rotten Tomatoes. Il a été qualifié de merveilleusement romantique et loué pour son exploration de la «déception qui entache toute expression authentique du romantisme» .

The Time Traveler’s Wife (2009)

Basé sur le best-seller du même nom d’Audrey Niffenegger, The Time Traveler’s Wife est une histoire d’amour transcendante entre Henry, un homme qui voyage involontairement dans le temps, et sa femme Clare, qui doit faire face à ses absences fréquentes et inattendues. Réalisé par Robert Schwentke, le film fait oublier sa science-fiction plutôt fragile grâce aux performances parfaites d’Eric Bana et de Rachel McAdams. Malgré des critiques mitigées, le film a été un succès commercial et a été salué par de nombreux spectateurs pour son exploration unique du mariage et du deuil .

Timecrimes (2007)

Qualifié de jeu d’échecs temporel par un critique, Timecrimes est un thriller espagnol intrigant avec Karra Elejalde, écrit et réalisé par Nacho Vigalondo. Le film, qui se déroule dans la campagne espagnole, suit Héctor, un homme d’âge mûr qui entre involontairement dans une machine à remonter le temps et se retrouve piégé dans une boucle causale. Rempli de rebondissements sombres, Timecrimes est considéré par beaucoup comme un joyau du voyage dans le temps, notamment en raison de l’absence d’effets spéciaux et de son budget étonnamment famélique.

Idiocracy (2006)

Lorsqu’ Idiocracy est sorti en salles en 2006, The Guardian l’a qualifié de regard prophétique inquiétant sur l’avenir des États-Unis . Dans cette comédie dystopique du réalisateur Mike Judge, Joe Bauers, interprété par Luke Wilson, est accidentellement cryogénisé pendant 500 ans. Il émerge alors dans un futur où les personnes intelligentes sont devenues une espèce en voie de disparition et où il est l’homme le plus intelligent de la planète. Les critiques ont comparé Idiocracy à des classiques comme 1984 et Brave New World et ont applaudi le film pour son exploration des dangers de l’incompétence collective.

Primer (2004)

FIncontournable pour les amateurs de films énigmatiques, Primer suit deux jeunes ingénieurs, Aaron et Abe, qui construisent accidentellement une machine à remonter le temps dans leur garage. Bien décidés à exploiter leur découverte, les deux hommes commencent à expérimenter l’appareil, ce qui entraîne des conséquences inattendues. Shane Carruth est à la fois scénariste, réalisateur et acteur pour ce film, qui a été réalisé avec seulement 7 000 dollars américains . Fait amusant, la majeure partie du budget a été consacrée à l’achat de pellicules. Cérébral à souhait, Primer a été salué pour son intrigue originale et sa représentation des scientifiques en tant que «héros authentiques, bien qu’imparfaits, de la pensée originale» .

Run Lola Run (1998)

Si vous avez suivi un cours de cinéma à l’université, vous avez probablement regardé le classique allemand Run Lola Run mettant en vedette Franka Potente. Réalisé par Tom Tykwer, qui a ensuite coréalisé Cloud Atlas , le film lui-même est un sprint: Lola court à travers Berlin, en 20 minutes chrono, pour obtenir 100 000 marks allemands et sauver la vie de son petit ami... mais lorsqu’elle est abattue, les événements reprennent de plus belle. Ce thriller expérimental a été salué par la critique et a eu un impact considérable sur d’autres cinéastes. Encore de nos jours, il maintient une note d’audience de 90% de la part du public sur Rotten Tomatoes.

12 Monkeys (1995)

Issu de l’imagination débridée du réalisateur Terry Gilliam, 12 Monkeys est un mystère de science-fiction post-apocalyptique mettant en scène Bruce Willis et Brad Pitt. Dans un futur aux allures grunge dévasté par une peste mortelle, un condamné nommé James Cole est envoyé dans le passé pour déceler l’origine de l’épidémie. Inspiré du court métrage La jetée de 1962, le film a été salué pour son intrigue magistrale, ses images surréalistes et son jeu d’acteur exceptionnel. En effet, Pitt a remporté un Golden Globe pour sa performance glaçante dans le rôle du malade mental Jeffrey Goines.

Groundhog Day (1993)

Avec son postulat simple – un présentateur météo cynique et narcissique nommé Phil se retrouve piégé dans une boucle temporelle –, Groundhog Day , réalisé par Harold Ramis, est devenu un classique du cinéma américain et a inspiré d’innombrables films sur le voyage dans le temps, dont un grand nombre figurent sur cette liste. Avec Bill Murray et Andie MacDowell, le film est, selon les critiques, intelligent, doux et inventif , et c’est une incroyable exploration de la croissance humaine . Les critiques s’accordent également pour dire que la sublime performance de Murray a été essentielle au succès du film.

Terminator 2: Judgment Day (1991)

Sept ans après le grand succès de James Cameron, The Terminator , la suite très attendue est sortie en salle, engrangeant 520 millions de dollars américains au box-office mondial . Dans Judgment Day , une version identique du cyborg qui n’a pas réussi à tuer Sarah Connor revient du futur, cette fois pour protéger son fils, futur chef de la résistance humaine. Le film, qui met en vedette Arnold Schwarzenegger et Linda Hamilton, est une aventure effrénée ponctuée d’ effets spéciaux époustouflants . Mais ce film d’action a aussi une profondeur surprenante, avec des personnages humains et cybernétiques complexes qui donnent vie à l’intrigue.

Bill & Ted’s Excellent Adventure (1989)

Mené par un jeune Keanu Reeves et Alex Winter, ce premier épisode de la franchise Bill & Ted est simplement un film culte. Un voyageur du futur se rend en 1988 pour s’assurer que Bill et Ted, deux étudiants du secondaire plutôt stupides, réussiront leur cours d’histoire et changeront le monde grâce à leur musique. Le film original de Bill & Ted est devenu une référence de la culture pop , donnant naissance à quantité de produits dérivés, d’une émission de télévision animée à des céréales à déjeuner!

Back to the Future (1985)

Pour ceux qui étaient enfants dans les années 80, Back to the Future de Robert Zemeckis est la quintessence du film d’aventure sur le voyage dans le temps. Lorsque l’adolescent Marty McFly est accidentellement renvoyé en 1955 dans une DeLorean construite par le scientifique excentrique Doc Brown, il empêche par inadvertance ses futurs parents de tomber amoureux. Mettant en vedette Michael J. Fox et Christopher Lloyd, Back to the Future a connu un succès international, les critiques le qualifiant de film débordant d’humour, avec une énergie intarissable et une bonté d’âme implacable .

The Time Machine (1960)

Considéré comme le tout premier film sur le voyage dans le temps, The Time Machine du réalisateur George Pal est basé sur la nouvelle de 1895 de H.G. Wells. L’histoire suit un inventeur du début du siècle qui voyage dans le futur et découvre un monde sinistre et dystopique. Avec Rod Taylor et Yvette Mimieux, The Time Machine était révolutionnaire lors de sa sortie en salle. Le film a d’ailleurs été récompensé par un Oscar pour ses effets photographiques en accéléré . Bien que certains éléments ne soient plus d’actualité, notamment la représentation stéréotypée des femmes, le film est indéniablement une référence dans le domaine du cinéma de science-fiction.

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Overview: Fraichement diplômée, Riley est désormais une adolescente, ce qui n'est pas sans déclencher un chamboulement majeur au sein du quartier général qui doit faire face à quelque chose d'inattendu : l'arrivée de nouvelles émotions ! Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût - qui ont longtemps fonctionné avec succès - ne savent pas trop comment réagir lorsqu'Anxiété débarque. Et il semble qu'elle ne soit pas la seule…

Genres : Animation, Familial, Aventure, Comédie

Released : 2024-06-11

Runtime : 97 Minutes

Title : Vice-Versa 2

Production : Walt Disney Pictures, Pixar, ,

Tag line : Faites de la place pour de nouvelles émotions.

Stars : Amy Poehler (Joy (voice)), Maya Hawke (Anxiety (voice)), Kensington Tallman (Riley (voice)), Liza Lapira (Disgust (voice)), Phyllis Smith (Sadness (voice)), Lewis Black (Anger (voice))

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